« Entre 2 os » Illusion d’optique #1

Entre 2 os est un projet qui repose sur l’illusion d’optique. Il demande à l’observateur de ne pas se fier à son unique point de vue puisqu’il faut se déplacer et prendre du recul pour discerner tous les aspects de l’illustration.

Entre 2 os est aussi la rencontre troublante de deux instants symboliquement opposés où le passage de vie à trépas, et vice-versa, s’effectue littéralement en un clin d’oeil.

 

« Entre 2 os » is an optical illusion project. The observers cannot rely on a single viewpoint but have to change perspective to question their perceptions and see all the facets of the picture.

« Entre 2 os » also puts together two opposite symbolic moments. Life and death meet in the blink of an eye.

Livre Photo “Italia Bianca Nera”

Ce projet n’est pas récent, mais je ne l’avais jamais publié. Voici l’édition papier de mon parcours photographique italien « Italia Bianca Nera ».

Présentation : Au profit d’un déplacement en Italie, je manipule pour la première fois ma dernière acquisition, le Fujifilm X20.

En découlera un petit photo reportage en noir et blanc, au regard très personnel qui n’évitera pas les clichés et les fantasmes que peut renvoyer ce pays, bien au contraire, j’en joue avec un certain plaisir en mélangeant, en opposant ou en juxtaposant mes images et leurs significations.

J’ai opté pour un traitement noir et blanc, valorisant les jeux d’ombres et de perspectives.

Retrouvez toutes les photos sur flickr : https://flic.kr/s/aHsjGwEniA

From Chicago

Une illustration personnelle pour la confection d’une petite carte de vœux à l’attention de ma sœur qui travaille actuellement à Chicago.

Carte “E Pericoloso #3”, l’humour noir par voie postale !

Impression de l’illustration #3 du triptyque « E pericoloso » sous forme de cartes postales vernies.

E pericoloso #3 ! (Suites et fins funestes)

Troisième et dernière illustration “Pansement ?”

C’est par le sang et l’humour que la série graphique « E pericoloso !» a commencée et finira ses jours !

Tranchés dans le vif, ces poncifs de l’iconographie naïve ne révèlent que mieux leurs faces contradictoires et hypocrites.